« À contre-courant de la maternité idéalisée, Vinciane Moeschler dresse le portrait d’une femme que personne n’a voulu voir sombrer. En abordant de manière frontale un sujet qui dérange, elle questionne les limites d’un acte qui assassine nos repères. Un roman inclassable, terriblement puissant. « 

10 août 2021

Trois incendies

« …Fresque de portraits composée comme une grande et délicate partition musicale. Extrêmement fin et riche par sa langue, le texte l’est aussi par les multiples thèmes qu’il traverse. Vinciane Moeschler a pris le temps de construire ses histoires, de choisir minutieusement les mots qui racontent ces femmes, mais aussi les gens qui gravitent autour d’elles, toutes des petites histoires dans la grande Histoire. »
4 septembre 2000

Annemarie S. ou les fuites éperdues

« Fascinée par la personnalité de son héroïne, Vinciane Moeschler lui consacre une biographie romancée où ses lettres authentiques se mêlent à une sorte de journal intime réinventé. Elle s’est si bien moulée dans le style d’Annemarie S. qu’on ne sait plus où est la vérité. Mais Annemarie S. l’a-t-elle jamais sue ? » Le Figaro Magazine
3 septembre 1996

Vivants à n’en plus finir

« C’est un roman d’apprentissage. Aux deux sens du terme. Celui d’une écriture d’abord. Qui se cherche, et, très vite, se trouve, impose son rythme saccadé, affûte ses pointes, aiguise ses lames pour trancher dans le vif des corps et des âmes, se fait chatte, souple et adroite, fondre sur sa proie. Sans toujours éviter les réminiscences – durassiennes, forcément – et l’affectation (…) » 24 heures.
29 août 1994

La leçon de pose

« ( …) l’intérêt du récit est précisément dans le refus du charnel facile, la narratrice et le sculpteur se trouvant toujours l’un et l’autre assez fort pour sauvegarder la fascination pure de l’attente, se sublimant inlassablement dans la glaise ou dans le travail de la danse, et cela sans narcissisme aucun. Vif, bref, efficace…ce deuxième livre confirme Vinciane Moeschler en une écrivaine intense et originale ». Le nouveau quotidien. ...». Charlie Hebdo.