« Les murs ça n’effraie que ceux qui restent plantés devant ! Même si on s’écorche en grimpant, même si on se blesse en retombant… on se repose, on attend que le souffle revienne pour la prochaine escalade. Mais ne rien entreprendre parce que le mur semble trop haut, se dire qu’on n’y arrivera jamais, autant se flinguer. »
Lettres d’amour d’un soldat de vingt ans.
Jacques Higelin (1940-2018)