Madame Morin mène une existence paisible entre son mari Guy et ses trois enfants qu’elle élève avec fierté. C’est une mère de famille aimante. Pourtant, se pourrait-elle qu’elle mène d’autres vies ?
Madame Morin mène une existence paisible entre son mari Guy et ses trois enfants qu’elle élève avec fierté. C’est une mère de famille aimante. Pourtant, se pourrait-elle qu’elle mène d’autres vies ?
Sacha a 15 ans lorsque ses parents lui annoncent que sa famille quitte Paris pour s’expatrier en République dominicaine. Mais derrière le décor idyllique des Caraïbes, il va rencontrer une réalité bien plus sombre : la misère du peuple des bateys.
Anton aime Audrey et voudrait la sauver de l’anorexie qui la guette. Ils vivent dans le même quartier de Belleville, mais dans deux univers différents. Le père d’Anton conduit le métro. La mère d’Audrey est reporter pour le journal télévisé.
« …Fresque de portraits composée comme une grande et délicate partition musicale. Extrêmement fin et riche par sa langue, le texte l’est aussi par les multiples thèmes qu’il traverse. Vinciane Moeschler a pris le temps de construire ses histoires, de choisir minutieusement les mots qui racontent ces femmes, mais aussi les gens qui gravitent autour d’elles, toutes des petites histoires dans la grande Histoire. »
« Fascinée par la personnalité de son héroïne, Vinciane Moeschler lui consacre une biographie romancée où ses lettres authentiques se mêlent à une sorte de journal intime réinventé. Elle s’est si bien moulée dans le style d’Annemarie S. qu’on ne sait plus où est la vérité. Mais Annemarie S. l’a-t-elle jamais sue ? » Le Figaro Magazine
« C’est un roman d’apprentissage. Aux deux sens du terme. Celui d’une écriture d’abord. Qui se cherche, et, très vite, se trouve, impose son rythme saccadé, affûte ses pointes, aiguise ses lames pour trancher dans le vif des corps et des âmes, se fait chatte, souple et adroite, fondre sur sa proie. Sans toujours éviter les réminiscences – durassiennes, forcément – et l’affectation (…) » 24 heures.
« ( …) l’intérêt du récit est précisément dans le refus du charnel facile, la narratrice et le sculpteur se trouvant toujours l’un et l’autre assez fort pour sauvegarder la fascination pure de l’attente, se sublimant inlassablement dans la glaise ou dans le travail de la danse, et cela sans narcissisme aucun. Vif, bref, efficace…ce deuxième livre confirme Vinciane Moeschler en une écrivaine intense et originale ». Le nouveau quotidien. ...». Charlie Hebdo.